Fabricant de presse à huile de tournesol à l'échelle du Lesotho en Guinée équatoriale

   
Fabricant de presse à huile de tournesol à l'échelle du Lesotho en Guinée équatoriale
                                               
                                               
                                               
  • Fabricant de presse à huile de tournesol à l'échelle du Lesotho en Guinée équatoriale
  • Quelle est la production mondiale d’huile de tournesol ?
  • Sébastien Carteau, directeur de Vico, qui réalise 28500 à 29000 tonnes de chips et autres produits par an, table sur «30000 tonnes d’ici deux ans». - G.L. La Russie et l’Ukraine assurent 80 % de la production mondiale d’huile de tournesol.
  • Qui produit l'huile de tournesol ?
  • Au niveau mondial, l’Ukraine et la Russie réalisent l’essentiel de la production mondiale d’huile de tournesol. D’après FranceAgrimer, l’Ukraine représente 50% des exportations d’huile de tournesol et cette huile végétale constitue la moitié des exportations ukrainiennes vers la France.
  • Pourquoi l’huile de tournesol se négocie-t-elle aujourd’hui ?
  • Vendue mi-février 640 euros la tonne, l’huile de tournesol se négocie aujourd’hui à plus de 1 000 euros. Depuis début mars et les premiers jours de la guerre en Ukraine, sa disponibilité a fortement baissé, les deux pays représentant 78% des exportations mondiales. Cette «crise» de l’huile vient s’ajouter à un contexte déjà tendu.
  • Comment changer l’huile de tournesol ?
  • Concrètement, face à la flambée du prix de l’huile de tournesol, ils peuvent la substituer, par exemple, par de l’huile de colza (même si celle-ci a augmenté aussi), sans avoir à changer la liste des ingrédients dans les six premiers mois.
  • Pourquoi les industriels demandent-ils l’autorisation de modifier les recettes d’huile de tournesol ?
  • Les industriels avaient saisi les services de Bercy il y a plusieurs semaines pour alerter sur les tensions d’approvisionnement en huile de tournesol, et demander l’autorisation de modifier les recettes. L’ONG Foodwatch avait alors insisté sur la nécessité d’une « totale transparence ».